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        Durant ce semestre de recherches et d'expérimentations, nous avons acquis des connaissances qui nous permettent désormais de répondre à notre problématique.

         Ainsi, lorsqu'un individu présente une malformation du cristallin ou un défaut physiologique de l'oeil, il ne distingue pas nettement certains objets. 

       Quand son cristallin est trop convergent ou quand son oeil est trop long, il éprouve des difficultés à percevoir des objets éloignés : il est donc myope. 

        En revanche, s'il ne possède pas un cristallin assez convergent ou possède un oeil trop court, il ne distingue pas correctement les objets proches : il est donc hypermétrope.

      Enfin, l'absence ou le dysfonctionnement d'au moins un des types de cônes rétiniens empêche la personne de distinguer certaines couleurs : elle est daltonienne.

 

      Pour la myopie et l'hypermétropie, il existe des traitements adaptés (lunettes correctrices, lentilles de contact, chirurgie). Mais ce n'est malheureusement pas encore le cas pour le daltonisme, même si des recherches scientifiques sont en cours.

 

          Certaines anomalies sont cependant inéluctables puisqu'elles sont liées au vieillissement naturel de l'oeil. C'est par exemple le cas de la presbytie, qui est due à une rigidification progressive du cristallin et qui réduit la capacité accommodatrice. Les symptômes se traduisent alors, comme pour l'hypermétropie, par des difficultés à distinguer des objets proches, et apparaissent vers l'âge de 45 ans. De même, la cataracte, dont les manifestations apparaissent vers l'âge de 65 ans, est due à une opacification du cristallin et trouble la vision de la personne. 

         

           Grâce à la médecine et aux progrès permanents qu'elle peut faire (notamment en chirurgie ophtalmologique), les pathologies sont aujourd'hui majoritairement traitées. Rares sont les individus dont les troubles de la vue restent un handicap majeur.

 

Conclusion

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